Serge Audier répond aux trois lectures de son ouvrage et en réaffirme les enjeux : le néo-libéralisme n’est pas un courant univoque, son histoire est faite tout autant de ruptures, de désaccords, d’évolutions que de convergences. Nier ainsi la diversité des « néo-libéralismes », c’est confondre les époques et se laisser aveugler par un terme devenu, à force de critiques, un peu fourre-tout.