Lorsqu’on parle des quartiers populaires, faut-il évoquer la race ou l’ethnie, des émeutiers ou des révoltés, une violence politique ou rituelle ? Faut-il faire confiance à la parole des acteurs ? En examinant l’intersection de la race, de la classe et du genre et en multipliant les comparaisons, un ouvrage collectif donne une réponse nouvelle à ces questions fondamentales.