En s’inspirant de la philosophie de Spinoza pour concevoir une éthique médicale, Éric Delassus entreprend de redonner un sens positif à la maladie, en offrant au malade lui-même les moyens de s’approprier de manière active son état et son traitement. Compte rendu suivi du point de vue d’un praticien, Bernard Meurin, psychomotricien au CHRU de Lille.