José Luis Martí et Félix Ovejero répondent à l’analyse du mouvement des indignés espagnols proposée dans la Vie des idées par Eva Botella, et prennent la défense de Philip Pettit. Son républicanisme est certes attentif aux risques d’excès de démocratie, mais rien dans sa théorie politique, qui valorise la délibération publique, ne s’oppose aux réclamations du mouvement du 15M.