Sandrine Revet défend une approche ethnographique des catastrophes afin de comprendre, au delà du strict bilan, les effets d’un désastre sur les politiques publiques, mais aussi et surtout sur les comportements et croyances des populations. Dans cet entretien, elle s’interroge sur le renouveau actuel des Disaster Studies et montre comment celles-ci se sont structurées depuis la deuxième Guerre Mondiale.