Après des études de droit et de philosophie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, Sarah Vanuxem a soutenu une thèse intitulée Des choses saisies par la propriété (préface de Th. Revet, Institut de Recherches Juridiques de la Sorbonne, 2012). Maîtresse de conférences à la faculté de droit de l’Université Côte d’Azur depuis 2012, et pensionnaire à l’Académie de France à Rome – Villa Médicis pour l’année 2022-2023, ses recherches se situent à la croisée du droit des biens et du droit de l’environnement, avec des incursions en philosophie environnementale, en anthropologie de la nature et en histoire du droit. Autrice de deux essais : La propriété de la terre (Wildproject, 2018) et Des choses de la nature et de leurs droits (Quae, 2020), elle mène actuellement une recherche sur le droit de déambuler.
After studying law and philosophy at Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne and École des Hautes Études en Sciences Sociales, Sarah Vanuxem defended her thesis entitled “Des choses saisies par la propriété” (preface by T. Revet, Institut de Recherches Juridiques de la Sorbonne, 2012). She was a resident at the Académie de France in Rome (Villa Médicis) in 2022-2023, and she has served as a lecturer at the Faculty of Law of Université Côte d’Azur since 2012. Her research lies at the intersection of property law and environmental law, with forays into environmental philosophy, the anthropology of nature, and the history of law. She is the author of two essays : La propriété de la terre (Wildproject, 2018) and Des choses de la nature et de leurs droits (Quae, 2020). She is currently conducting research on the right to wander.