En s’intéressant à ce qui se dit des « sectes » en France, A. Esquerre interroge avec finesse les lieux communs qui sévissent habituellement dans le débat. Il ressort de son analyse que l’accusation de « manipulation mentale » occulte la complexité et la singularité de la situation visée – et notamment le dispositif d’Etat ciblant le psychisme des individus.