Entre les années 1960 et nos jours, la réception du « dernier Aragon » montre comment on a progressivement cessé de juger l’écrivain, pour le célébrer. La consécration orchestrée par l’auteur lui-même a en effet abouti à une véritable patrimonialisation : Aragon est devenu un classique, dont on redécouvre la densité polyphonique.