Irène Théry met en cause la violence légale dans les pays où, comme en France, la loi prescrit l’anonymat des dons d’engendrement. Elle observe le décalage entre une réalité complexe et la définition d’un acte créateur délégué au seul médecin. Elle plaide pour que la société prenne ses distances avec le modèle normatif de la famille nucléaire.