La déshumanisation des migrants est rendue hyper-visible dans les images médiatiques. F. Mazzara propose d’y résister en explorant les démarches d’artistes et d’activistes entreprises dans l’île de Lampedusa et ses alentours.
Quels sont les effets de l’œuvre d’art sur la conscience et sur la société ? L’art écologique renouvelle cette question de manière urgente, en appelant à l’amitié pour la nature mise à mal.