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Dits et écrits du monde ouvrier

À propos de : Xavier Vigna, L’Espoir et l’effroi : luttes d’écritures et luttes de classes en France au XXe siècle, La Découverte, 2016.


par Corinne Grenouillet , le 18 janvier 2017


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Alors que la classe ouvrière a perdu aujourd’hui de sa centralité, l’historien Xavier Vigna invite à relire les écrits sur et par les ouvriers. Dans cet ouvrage ambitieux, il montre que l’écriture aussi peut être un lieu d’affrontements.

Recensé : Xavier Vigna, L’Espoir et l’effroi : luttes d’écritures et luttes de classes en France au XXe siècle, Paris, La Découverte, 2016, 250 p., 24 €.

Dans sa thèse publiée en 2007 sous le titre L’Insubordination ouvrière dans les années 68 : essai d’histoire politique des usines (Presses Universitaires de Rennes), Xavier Vigna notait déjà la « centralité » de la classe ouvrière dans la séquence 1968, c’est-à-dire les années qui précèdent et font suite à cette année phare. Cette centralité, qui caractérise en réalité une majeure partie du 20e siècle, désigne « le fait proprement politique que la question ouvrière, celle de la situation sociale et politique de classe et de son devenir, est érigée en enjeu fondamental » (p. 7). Ce n’est qu’au milieu des années 1980 qu’elle fait progressivement place à une invisibilisation sociale dont témoignent douloureusement certains ouvriers-écrivains comme Jean-Pierre Levaray [1]. Celle-ci est pourtant loin de signifier une disparition : 5,7 millions d’ouvriers sont encore recensés en 2007 – le chiffre doit être rappelé car les plus fantaisistes circulent – et plus de 5 millions sont encore aujourd’hui en activité. Plusieurs facteurs expliquent que se soit propagée dans les esprits et les imaginaires contemporains la représentation d’un monde en perte de vitesse, dans lequel les ouvriers seraient les « vestiges d’un archaïsme à la fois social et politique » [2] : la diminution chronique de leur nombre, la désindustrialisation de la France, les fermetures massives d’usines et la destruction de centres industriels emblématiques comme Renault Billancourt (en 1992), mais aussi les transformations du tissu productif : le secteur tertiaire s’étant développé au détriment de la production industrielle, « l’ouvrier » d’aujourd’hui travaille parfois dans la logistique ou a dû opérer sa reconversion [3] et ne se sent plus appartenir à une classe [4] structurée politiquement, socialement et idéologiquement.

L’écriture comme riposte à l’assignation

L’originalité de L’Espoir et l’effroi [5] est de prendre pour objet les écritures sur et de la classe ouvrière, c’est-à-dire un immense corpus de textes, dont se dégagent quatre ensembles, étudiés conjointement pour la première fois : les écritures policières, soit les rapports des Renseignements Généraux ou des préfets, les écritures patronales – par exemple des rapports rédigés pour l’Union des Industries et des Métiers de la Métallurgie (UIMM) –, les écritures ouvrières, soit les témoignages ou autobiographies produits par les ouvriers eux-mêmes, enfin les ouvrages de sociologues et les enquêtes consacrés au monde ouvrier. Il ne s’agit plus de faire l’histoire des ouvriers en France au 20e siècle comme dans le précédent livre éponyme mais de s’attacher aux représentations suscitées par le monde ouvrier. Et cette démarche rejoint – dans une certaine mesure – les travaux et les centres d’intérêt de la littérature : rares sont en effet les historiens qui accordent une telle importance aux témoignages et aux fictions littéraires.

S’il ne développe pas véritablement de réflexion sur les statuts très divers de ces textes ni sur leur réception – si confidentielle parfois qu’elle n’a pu contribuer à forger une représentation collective –, le livre de X. Vigna a le mérite de passer au crible de l’analyse une prodigieuse documentation, puisant aussi bien dans les sources manuscrites de la police générale, les rapports administratifs du Ministère du travail ou les archives privées d’Albert Thomas que dans les innombrables autobiographies ouvrières, les multiples enquêtes sociologiques, les très nombreux romans ou fictions plus ou moins autobiographiques qui ont été publiés au cours du siècle. Il manque à ce riche inventaire un index complet et la liste des ouvrages scientifiques sur lesquels l’auteur s’est appuyé pour être pleinement l’ouvrage de référence qu’il a vocation à devenir. Mais il semble qu’aujourd’hui éditeurs et auteurs s’accordent pour considérer l’exhaustivité scientifique comme une marotte professionnelle, donc négligeable, d’universitaires maniaques.

Une analogie stimulante est établie entre le traitement social et politique des écritures du monde ouvrier, et ce qu’Edward W. Said a nommé « l’orientalisme intérieur », soit la manière dont, en Occident, on a pu placer les « choses de l’Orient » « dans une classe, un tribunal, une prison, un manuel, pour les analyser, les étudier, les juger, les surveiller ou les gouverner » (cité p. 14). L’ouvrier, au fil du siècle, est bien celui qui est jugé, classé, enfermé dans une catégorie : dangereux, licencieux, paresseux, alcoolique, voire sentant mauvais, il suscite « l’effroi ». Mais les ouvriers ont appris à écrire et n’auront de cesse de répondre aux accusations de cette ontologie sauvage : l’histoire qu’entend développer X. Vigna est d’abord celle d’un affrontement politique, qui passe par la nécessité d’une réponse à cette classification, par le moyen de l’écriture.

Prendre la parole ou donner la parole

La première partie progresse par séquences chronologiques, l’auteur s’attachant à distinguer les saillances de chacune d’entre elles : le réformateur ministère Thomas pendant la Grande Guerre diligente les enquêtes chargées d’évaluer la situation des ouvriers, à l’heure où de nombreux coloniaux sont « importés » et où il est crucial d’améliorer la condition ouvrière en vue d’une intensification de l’effort de guerre. Dans l’entre-deux-guerres, le thème majeur des débats devient l’expansion de la rationalisation et du taylorisme qui ont induit le développement des chaines de production. Un « effroi » appelé à perdurer se manifeste alors devant l’ « hydre communiste », le PCF s’étant développé au moment des vagues de grève des années 1917-1920 ; chez les catholiques, l’inquiétude est d’un autre type, centrée sur la déchristianisation affectant supposément la classe ouvrière. Une riche littérature prolétarienne autour d’Henry Poulaille dresse dans les années 1930 l’inventaire du Paris ouvrier, du quotidien de l’usine, du chômage ou de la quête du travail.

Après la Seconde Guerre mondiale, domine d’abord l’image d’une classe ouvrière demeurée fidèle pendant les heures sombres à la « France profanée », selon le mot de Mauriac, puis l’écriture du monde ouvrier devient celle du monde communiste. Parallèlement, la sociologie du travail émerge autour de Georges Friedmann puis d’Alain Touraine, et un anti-ouvriérisme d’État s’installe, particulièrement visible dans les répressions brutales des mobilisations ouvrières des années 1947-1950. Au cours des années 1960-1970, durant lesquelles s’impose la figure emblématique de l’Ouvrier Spécialisé, les écritures s’intensifient (témoignages d’étudiants d’extrême-gauche établis en usine, autobiographies), prenant du large par rapport au discours communiste traditionnel.

Enfin dans la dernière séquence consacrée à la crise, s’impose une tonalité funèbre, résultant à la fois de la désindustrialisation mais aussi de la crise profonde que traverse le monde ouvrier. C’est le moment où des écrivains viennent prêter leur savoir-faire à des ouvriers licenciés (Jean-Paul Goux, François Bon, Frédéric H. Fajardie ou Sylvain Rossignol) comme nous l’avons nous-même analysé récemment dans Usines en textes, écritures au travail [6], et où de nombreux anciens (souvent ex-établis ou militants) font retour sur leur passé laborieux, accompagnés ou non dans cette démarche par des professionnels de l’écriture.

S’agit-il d’ailleurs pour ces derniers de « parler au nom des ouvriers sous couvert de leur donner la parole » (p. 180) ? Telle est la question qui ouvre la deuxième partie du livre, passionnante. Il s’agit cette fois-ci d’identifier les fonctions de ces écritures : du côté des sociologues, du patronat ou plus largement des groupes dominants, on essentialise, affublant les ouvriers de différents prédicats longtemps articulés autour du terme de race : « de père en fils, la race s’est perpétuée chez eux [les porcelainiers de Limoges] sans alliages », écrit par exemple un certain André Pompon en 1910. D’autres termes tout aussi essentialisant seront bientôt utilisés, on parle du tempérament ou de la mentalité ouvrière. Pierre Hamp fait l’éloge des « hommes rudes, de vrais hommes » que sont les « gueules noires » ou du Stéphanois envisagé « avant tout » comme « un magnifique outilleur » (cité p. 189).

Dépréciation d’un côté, célébration de l’autre, la réduction de l’ouvrier à une essence favorise l’énoncé, tout au long du siècle, d’une hiérarchie, en bas de laquelle figurent les ruraux, les femmes, et surtout les immigrés – avec, là encore, des subdivisions subtiles et intolérables, le « Nègre », dès les années 1910, se voyant placé tout en bas de l’échelle, sous l’Arabe. Le chapitre 7 qui donne son sous-titre à l’essai, « écritures des luttes et luttes d’écritures », montre combien les écrits se répondent : au discours (des dominants) accablant les « meneurs » ouvriers ou qualifiant une foule de manifestants d’« avinée » et de « bestiale » (Auguste Isaac, cité p. 206) répondent, chez les scripteurs ouvriers, la réhabilitation de syndicalistes et des portraits cinglants de patrons ou de leurs relais, les contremaîtres ou les chronométreurs ; les fayots, « renards » ou « jaunes » constituent eux aussi les cibles privilégiées de cette hostilité ouvrière.

À l’anticommunisme virulent des classes au pouvoir répond la célébration de l’engagement aux côtés du parti, dont le fameux Fils du peuple de Maurice Thorez établit dès 1937 le modèle paradigmatique. Les emblèmes et les stigmates de la classe (notamment la propension réelle ou supposée à l’alcoolisme ou les accidents du travail) sont développés à travers trois figures symboliques, les dockers, les mineurs et les gens « de la terrasse », dont Navel écrivait qu’ils étaient « le corps franc des bataillons du monde du travail » (cité p. 233). Quant aux diverses tentatives de restitution d’une « langue » du peuple, X. Vigna rappelle combien elles ont alimenté au fil du siècle des débats autant littéraires qu’idéologiques, mettant en œuvre différentes postures, de l’invention d’une langue ouvrière empreinte de la condescendance de l’auteur, voire suant le racisme chez l’ingénieur Georges Lamirand, jusqu’à l’évocation acérée et quasi sociologique d’une Annie Ernaux, en passant par l’hypercorrection stylistique du grand résistant et militant communiste Charles Debarge.

Écriture et émancipation

La dernière partie, très riche, met en évidence la portée émancipatrice des écritures ouvrières, dans le cadre de l’allongement de la scolarisation qui a permis l’accès à des pratiques d’écriture, souvent inscrites dans une vie militante et une démarche d’autodidaxie. X. Vigna souligne les fonctions de l’écriture testimoniale : elle vise à révéler, donc à instruire, par exemple chez Sylviane Rosière, décolleteuse dans la vallée d’Arve et auteur d’Ouvrières d’usine. Petits bruits d’un quotidien prolétaire (2010), qui met au jour ce qui « devait demeurer privé et caché : la désorganisation de la production, la vétusté des machines et l’inconfort des ateliers » (p. 269). Elle s’attache à réfuter les discours dominants, comme l’indique le titre signé d’un collectif d’ouvriers stéphanois : Le Mur du mépris (1978). Elle s’insurge contre un déni de représentation. Quant à l’autobiographie ouvrière, elle manifeste une tension entre la revendication d’une singularité (l’auteur exprimant sa satisfaction du chemin parcouru et clamant l’originalité de ce dernier), et l’affirmation d’une ressemblance et d’une appartenance à la classe ouvrière. Ipse et idem, aurait dit Paul Ricœur. Mais l’écriture, note l’auteur avec pertinence, opère aussi la transformation de celui qui s’y adonne, l’obligeant à un pas de côté, à une « infidélité » à sa classe d’origine par la fréquentation d’intellectuels, par le repli sur une activité de l’esprit, par la distance et l’intellection que celle-ci exige. C’est ainsi que l’assignation qui est régulièrement faite aux scripteurs issus du monde ouvrier d’y rester et de ne parler que de lui se voit vigoureusement mise en cause : celui qui écrit s’émancipe nécessairement de la condition ouvrière.

Le monde ouvrier n’est pas uniforme : Xavier Vigna n’a eu de cesse au long de ses travaux d’en démontrer l’extraordinaire diversité, portant son attention sur des secteurs rarement mis en lumière. Si les liens quasi consubstantiels des ouvriers avec un Parti communiste qui a drainé pendant plusieurs décennies à la fois les espoirs des travailleurs et l’effroi des détenteurs du pouvoir sont bien connus, l’auteur souligne de manière plus originale ceux qui ont unis le monde ouvrier et l’église catholique, par l’intermédiaire des militants jocistes (la Jeunesse Ouvrière Chrétienne est fondée en 1924) ou des prêtres-ouvriers des années 1950, ces derniers se révélant d’ailleurs de grands producteurs d’écrits sur le monde ouvrier. L’inventeur de la méthode participante en sociologie du travail, un dénommé « Valdour », était lui-même un fervent catholique. Cet étonnant chercheur – Valdour était le pseudonyme de Louis Marin –, était « royaliste, corporatiste, xénophobe et antisémite, très proche de l’Action française » (p. 52) ; après 1924, il devint furieusement anti-communiste. Quadruplement docteur en droit, sciences politiques et économiques, médecine, et sciences naturelles, il fut l’auteur, entre 1919 et 1937, d’une quinzaine de livres d’« observations vécues » dans le monde ouvrier, anticipant les pratiques ethnographiques contemporaines d’un Nicolas Hatzfeld ou d’un Nicolas Jounin [7].

X. Vigna prend à bras le corps les milliers de pages écrites par ou sur les ouvriers, avec la volonté de donner une visibilité à ces pratiques d’écriture mais sans projeter sur l’analyse des a priori sclérosant : sa démarche est inductive, ce sont les citations qui suscitent les analyses. L’attention nuancée à toutes les écritures du monde ouvrier peut même aller jusqu’à bousculer la démonstration, révélant par exemple au cœur même d’un pouvoir anti-ouvrier tout au long du siècle des sensibilités inattendues au monde laborieux. Qui aurait imaginé que des policiers puissent se montrer attentifs à la réalité culturelle d’une grève en 1968 (p. 128) ou qu’un patron puisse envisager en 1938 « une forme de droit ouvrier sur les usines » (p. 219) ? Ces contre-discours – bien sûr parfaitement minoritaires – apparaissent comme des pépites insolites (mais non cachées) révélant la diversité et la complexité des écrits sur les ouvriers.

Xavier Vigna distingue sa démarche des travaux littéraires, trop attachés selon lui à classer les textes selon des critères de littérarité, et donc refusant de se confronter à des écrits jugés insuffisamment littéraires – critique parfaitement légitime du champ académique qui voit d’un mauvais œil toute plongée dans l’univers des « contre-littératures » [8], c’est-à-dire des textes exclus de la tradition lettrée. L’orientalisme sévit aussi dans l’institution littéraire contemporaine et condamne malheureusement les textes qui y ont un « statut minoritaire » [9], tel le témoignage. Un historien n’a sans doute pas les mêmes contraintes. Quoiqu’il s’en défende, le choix, la longueur des citations et la qualité de l’analyse révèlent chez X. Vigna une réelle sensibilité littéraire. Et son lecteur, un peu amusé, peut l’observer juger à son tour de la qualité littéraire de ses auteurs, délaissant la neutralité scientifique qui est la sienne dans l’ouvrage [10]. En lisant les extraits choisis par X. Vigna de Lucien Bourgeois, de Georges Navel, d’Albert Soulilou, et de bien d’autres, le lecteur constate que c’est bien par l’art littéraire, le choix des mots et leur agencement que les grands auteurs ouvriers nous font pénétrer dans la réalité sensible de la condition ouvrière. Par cette attention à l’écriture littéraire autant que par son ampleur historique, L’Espoir et l’effroi de Xavier Vigna est ainsi appelé à devenir un livre de référence sur les écritures ouvrières du 20e siècle.

par Corinne Grenouillet, le 18 janvier 2017

Pour citer cet article :

Corinne Grenouillet, « Dits et écrits du monde ouvrier », La Vie des idées , 18 janvier 2017. ISSN : 2105-3030. URL : https://laviedesidees.fr/Dits-et-ecrits-du-monde-ouvrier

Nota bene :

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Notes

[1Jean-Pierre Levaray, Classe fantôme, chroniques ouvrières, Trouville, Le Reflet, 2003.

[2Xavier Vigna, Histoire des ouvriers en France au XXe siècle, Perrin, coll. «  Pour l’histoire  », 2012, p. 283.

[3Ce dont témoignent de nombreux récits ou romans, par exemple Moi, Anthony, ouvrier d’aujourd’hui (Seuil, coll. «  Raconter la vie  » 2014), récit anonyme d’un jeune intérimaire dans la logistique, ou Retour aux mots sauvages de Thierry Beinstingel (Fayard, 2010), histoire d’un technicien de la téléphonie obligé de se reconvertir dans la télé-opération.

[4Michel Pialoux et Stéphane Beaud, Retour sur la condition ouvrière, enquête aux usines Peugeot de Sochaux-Montbéliard, Fayard, 1999.

[5Ce livre est issu de l’habilitation à diriger des recherches soutenue par Xavier Vigna sous la direction de Nicolas Hatzfeld.

[6Corinne Grenouillet, Usines en textes, écritures au travail. Témoigner du travail au tournant du XXIe siècle, Classiques Garnier, coll. «  Études de littérature des XXe et XXIe siècles  », 2015. Voir le compte-rendu de Carole Bisenius-Penin dans Questions de communication n° 28, 2015.

[7Nicolas Jounin, Chantier interdit au public. Enquête parmi les travailleurs du bâtiment, La Découverte, 2009. Observer le travail : histoire, ethnographie, approches combinées, sous la dir. de P. Fournier, N. Hatzfeld, C. Lomba et S. Müller, La Découverte, 2008. Voir le compte-rendu de Nicolas Renahy dans La Vie des idées, 25 novembre 2008.

[8Bernard Mouralis, Les Contre-littératures, Hermann, coll. «  Fictions pensantes  », 2011 [éd. orig. 1975].

[9Bernard Mouralis définit ces textes par le fait que «  celui qui les connaît n’en retire aucun pouvoir particulier  » (ibid., p. 65)

[10«  Lucien Bourgeois […] achèv[e] son texte sur une belle période, conclue par un rythme ternaire élégant  », p. 281.

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